Vous lisez, vous? Bah ça dépend si j'ai un livre!
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Je viens de commencer "comprendre l'empire" d'Alain Soral. J'en suis au chapitre sur la FED... Ne pas lire ce livre avec une corde au dessus de sa tête, si vous voyez ce que je veux dire...
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merci à ma femme de m'avoir conseillé de lire "une vie" de Maupassant.
je me suis fait chier les 30 premières pages, et puis peu à peu, le style d'écriture, l'histoire et le décor se posent, et on est pris dedans au coté des personnages
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La Métamorphose (Die Verwandlung) de Kafka...Je l'ai relue cette nuit et franchement rarement je me suis senti aussi mal à l'aise. Et je me sens coupable car je ne sais pas quelle aurait été ma réaction face à telle situation...
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On nous promet les cieux, nom de Dieu, pour toute récompense
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En parlant de Franz, j'ai fini Kafka sur le rivage, de Murakami.
J'ai un peu de mal à expliquer pourquoi, mais j'ai beaucoup aimé. L'histoire est tragique dès le début, mais ce n'est jamais déprimant. Tout le livre est extrêmement métaphorique, sans doute avec plusieurs niveaux de lecture ; c'est une sorte de réécriture moderne du mythe d’Oedipe. Très poétique aussi, il y a des passages vraiment émouvants ; si j'avais un reproche à faire, c'est que l'accumulation de références culturelles dans le bouquin fait parfois un poil prétentieux, mais c'est vraiment mineur.
J'en lirai probablement d'autres du même auteur, en tout cas.
J'ai un peu de mal à expliquer pourquoi, mais j'ai beaucoup aimé. L'histoire est tragique dès le début, mais ce n'est jamais déprimant. Tout le livre est extrêmement métaphorique, sans doute avec plusieurs niveaux de lecture ; c'est une sorte de réécriture moderne du mythe d’Oedipe. Très poétique aussi, il y a des passages vraiment émouvants ; si j'avais un reproche à faire, c'est que l'accumulation de références culturelles dans le bouquin fait parfois un poil prétentieux, mais c'est vraiment mineur.
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J'ai pas réussi à tenir jusqu'au bout... A cause de l'ecriture pénible et de l'accumulation de phrases à peine constuites. Il a voulu rendre son bouquin accessible, je l'ai trouvé indigeste.gagarine a écrit :Je viens de commencer "comprendre l'empire" d'Alain Soral. J'en suis au chapitre sur la FED... Ne pas lire ce livre avec une corde au dessus de sa tête, si vous voyez ce que je veux dire...
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J'ai fait une petite pause au milieu de la saga de l'Assassin Royal ( ) pour lire 22/11/63 de Stephen King.
Vraiment excellent, on est pourtant assez loin de l'univers horrifique du bonhomme, mais le suspense est toujours là, tout ça avec une superbe retranscription des states fin 50' début 60'
Vraiment excellent, on est pourtant assez loin de l'univers horrifique du bonhomme, mais le suspense est toujours là, tout ça avec une superbe retranscription des states fin 50' début 60'
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Je vois bien.gagarine a écrit :Je viens de commencer "comprendre l'empire" d'Alain Soral. J'en suis au chapitre sur la FED... Ne pas lire ce livre avec une corde au dessus de sa tête, si vous voyez ce que je veux dire...
Petit dessin animé sur la FED pour ceux qui ne voient pas du tout ce que c'est. https://www.youtube.com/watch?v=QNbCAzzXw14
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je reviens pour la seconde fois dans le livre qui m'a fait découvrir Bret Easton Ellis : "Moins que zéro".
Un livre qu'il a écrit alors qu'il était âgé de seulement 21 ans, ce qui bluffe d'autant plus quand on constate la puissance et la singularité que le bonhomme injecte dans son écriture.
je n'ai pas pour habitude de relire des livres, j'ai tout le temps pour cela, mais comme je vais ensuite me plonger dans l'opus qui est censé en être le prolongement avec un bond dans le temps : "Suites impériales"...je redécouvre cette histoire avec beaucoup de plaisir.
si vous n'avez jamais testé un livre de Bret Easton Ellis, je vous conseille vivement de vous y essayer, car quand on accroche c'est une découverte majeure
Un livre qu'il a écrit alors qu'il était âgé de seulement 21 ans, ce qui bluffe d'autant plus quand on constate la puissance et la singularité que le bonhomme injecte dans son écriture.
je n'ai pas pour habitude de relire des livres, j'ai tout le temps pour cela, mais comme je vais ensuite me plonger dans l'opus qui est censé en être le prolongement avec un bond dans le temps : "Suites impériales"...je redécouvre cette histoire avec beaucoup de plaisir.
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Actuellement je lis :
- "Les grands noms du jeu vidéo : Ralph BAER - mémoires du père des jeux vidéos" aux éditions Pix'n love. Un livre du fondateur du jeu vidéo tout simplement.
- "Les nouveaux chiens de garde" de Serge HALIMI. Ce livre expose le triangle amoureux qui existe entre journalistes, politiciens et industriels. Un bon petit livre plein d'anecdote et qui a d'ailleurs été boycotté par la presse et les journalistes.
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Qui a lu Gomorra? J'hésite à le prendre. Vaut-il le coup? Sinon, je fini breaking bad ( la série) et j'attaque le Hobbit...
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Docteur Sleep, la 'suite' de The Shining, qui raconte la vie d'adulte de Danny, devenu un loser routard alcoolique tentant de fuir ce pouvoir qui lui gâche l’existence.
Assez glauque et déprimant au début (je n'en suis qu'à 1/4 du livre) certaines choses commencent à se mettre en place et je sens qu'il y a du potentiel pour de la baston surnaturelle bien grinçante...
Assez glauque et déprimant au début (je n'en suis qu'à 1/4 du livre) certaines choses commencent à se mettre en place et je sens qu'il y a du potentiel pour de la baston surnaturelle bien grinçante...
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En ce moment je lis "Là-bas" de Joris-Karl Huyssman. Mon édition date de 1903 et pue comme c'est pas permis... mais ça rajoute du charme à l'œuvre... qui en a déjà.
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Fini les Histoires extraordinaires, d'Edgar Poe.
J'ai eu du mal à accrocher au début, vu que les premières nouvelles ne sont pas vraiment dans la veine fantastique que j'attendais. Il m'a fallu un petit moment avant de comprendre ce que voulait montrer l'auteur, et à partir de là c'est devenu très intéressant, vraiment intelligent dans l'écriture. Je suis juste surpris de la composition du recueil, il y a parfois deux nouvelles qui se suivent et qui sont très semblables...
Un très bon livre en tout cas ; le style est un peu chargé, mais ça se lit bien.
J'ai eu du mal à accrocher au début, vu que les premières nouvelles ne sont pas vraiment dans la veine fantastique que j'attendais. Il m'a fallu un petit moment avant de comprendre ce que voulait montrer l'auteur, et à partir de là c'est devenu très intéressant, vraiment intelligent dans l'écriture. Je suis juste surpris de la composition du recueil, il y a parfois deux nouvelles qui se suivent et qui sont très semblables...
Un très bon livre en tout cas ; le style est un peu chargé, mais ça se lit bien.
Je le note, merci. J'hésitais à attaquer directement par American Psycho, mais celui-là fera peut-être une introduction moins massive (ce n'est pas sale).raisonnable a écrit :si vous n'avez jamais testé un livre de Bret Easton Ellis, je vous conseille vivement de vous y essayer, car quand on accroche c'est une découverte majeure
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j'ai vachtement aimé "Histoires fantastiques" de Poe moi aussi, y'a des nouvelles qui nous transportent littéralement en plein coeur de l'environnement choisi!! (je me rappelle d'une notamment, Voyage au coeur du Maelstrom je crois). Si au bout du compte tu as accroché Lyv, tu peux essayer "Histoires grotesques et sérieuses" également. C'est plus inégal et un peu plus lourd aussi, mais il y a des pépites qui valent le détour.
Pour Bret Easton Ealis, ça peut être effectivement une bonne idée de commencer par "Moins que zéro", en apportant cette précision supplémentaire : que tu aimes ou pas, va de toute façon te confronter un jour à "American Psycho", c'est une expérience en tant que lecteur à éprouver.
Pour Bret Easton Ealis, ça peut être effectivement une bonne idée de commencer par "Moins que zéro", en apportant cette précision supplémentaire : que tu aimes ou pas, va de toute façon te confronter un jour à "American Psycho", c'est une expérience en tant que lecteur à éprouver.
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Excellent SGN pour ton jeu de mot...Perso, je suis sur Gomorra que l'on ne présente plus. J'adore ce bouquin, dont l'écrivain a une sacré paire de couilles pour parlé de la camorra, la mafia Napolitaine...
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Bon, ben lu et fini Less than zero, de Bret Easton Ellis.
C'est vraiment du très bon, et surtout prenant d'un bout à l'autre. Je suis impressionné par la capacité de l'auteur à évoquer tant de choses alors qu'il n'y a pour ainsi dire pas d'histoire. Et qu'il parvienne à rendre chaque scène différente malgré la répétition des situations, et à choquer sans qu'on ait l'impression qu'il cherche vraiment à le faire (ça rend certaines scènes assez dérangeantes). Il y a un côté artificiel et un peu daté dans tout ce qui est décrit, et pourtant ça semble affreusement réel. Un poil déçu par la fin, que j'attendais plus marquante, mais au fond ça colle avec le reste.
Je me ferai sûrement la suite d'ici peu. Encore merci pour le conseil raisonnable.
C'est vraiment du très bon, et surtout prenant d'un bout à l'autre. Je suis impressionné par la capacité de l'auteur à évoquer tant de choses alors qu'il n'y a pour ainsi dire pas d'histoire. Et qu'il parvienne à rendre chaque scène différente malgré la répétition des situations, et à choquer sans qu'on ait l'impression qu'il cherche vraiment à le faire (ça rend certaines scènes assez dérangeantes). Il y a un côté artificiel et un peu daté dans tout ce qui est décrit, et pourtant ça semble affreusement réel. Un poil déçu par la fin, que j'attendais plus marquante, mais au fond ça colle avec le reste.
Je me ferai sûrement la suite d'ici peu. Encore merci pour le conseil raisonnable.
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Ah je suis content que tu aies apprécié ce livre, qui fait parti de mes chocs littéraires.
Je suis assez d'accord avec ce que tu en remontes, sauf pour la fin, que je trouve au contraire très réussie, car on se recentre bien sur le fond du problème : des mômes qui grandissent en ayant tout sauf l'essentiel, c'est-à-dire le regard et l'attention d'adultes bienveillants, et qui deviennent à leur tour des êtres présents physiquement, mais absents dans leur tête.
La phrase de Rip quand Clay l'interroge sur ce qui se passe dans sa piaule est d'ailleurs une des plus percutantes, d'autant plus qu'elle est superbement amenée : "Non je n'ai pas tout. Je n'ai pas quelque chose à perdre".
Ca parait anodin balancé comme ça, mais après s'être lu toutes les frasques sans limites de ces gamins, et tout le cheminement dans la conversation qui amène ce personnage à dire ces quelques mots, on se le prend en pleine gueule.
Je suis d'accord avec toi sur le coté de "rendre chaque scène différente malgré la répétition des situations, et à choquer sans qu'on ait l'impression qu'il cherche vraiment à le faire (ça rend certaines scènes assez dérangeantes)." et "Il y a un côté artificiel et un peu daté dans tout ce qui est décrit, et pourtant ça semble affreusement réel".
c'est-à-mon sens une des grandes force de cet auteur : réussir à transmettre une ambiance et une critique sans les nommer, juste par un parti pris d'écriture et de narration. Ici, c'est effectivement le coté artificiel de la vie de ces gamins, la répétition jusqu'à l'ennui de moments de plaisir qui seraient censés représenter un aboutissement d'excitation pour tout adolescent, avec le morbide et le malsain comme seules phases d'intérêt de d'échappatoire. Où la difficulté de se sentir vivre. Et effectivement, "tout ça semble affreusement réel".
Tu retrouveras cette capacité d'écriture sous d'autres formes dans "American Psycho" et dans "Glamorama", que je te conseille vivement. <peut-être vaut-il mieux terminer par "American Psycho", qui repousse les limites de ce que cet auteur est capable de proposer (bon, je n'ai pas lu ses deux derniers livres").
"Suite(s) Impériale(s)", le prolongement de "Moins que Zéro", je me lance dedans d'ici la fin du mois. Et ça vaut aussi le coup de lire "Les lois de l'attraction", qui est déroutant dans sa narration, mais qui est là encore une bonne expérience de lecture, avec ce décor vers lequel Bret Easton Ellis semble aimer revenir : la jeunesse dorée désabusée. D'ailleurs, question thème et talent pour l'exploiter, je trouve qu'au cinéma l'oeuvre de Larry Clark est un bon miroir de la littérature de Bret Easton Ellis.
(au fait, détail amusant : tu as posté ton message le jour même où je finissais ma lecture du livre!)
Je suis assez d'accord avec ce que tu en remontes, sauf pour la fin, que je trouve au contraire très réussie, car on se recentre bien sur le fond du problème : des mômes qui grandissent en ayant tout sauf l'essentiel, c'est-à-dire le regard et l'attention d'adultes bienveillants, et qui deviennent à leur tour des êtres présents physiquement, mais absents dans leur tête.
La phrase de Rip quand Clay l'interroge sur ce qui se passe dans sa piaule est d'ailleurs une des plus percutantes, d'autant plus qu'elle est superbement amenée : "Non je n'ai pas tout. Je n'ai pas quelque chose à perdre".
Ca parait anodin balancé comme ça, mais après s'être lu toutes les frasques sans limites de ces gamins, et tout le cheminement dans la conversation qui amène ce personnage à dire ces quelques mots, on se le prend en pleine gueule.
Je suis d'accord avec toi sur le coté de "rendre chaque scène différente malgré la répétition des situations, et à choquer sans qu'on ait l'impression qu'il cherche vraiment à le faire (ça rend certaines scènes assez dérangeantes)." et "Il y a un côté artificiel et un peu daté dans tout ce qui est décrit, et pourtant ça semble affreusement réel".
c'est-à-mon sens une des grandes force de cet auteur : réussir à transmettre une ambiance et une critique sans les nommer, juste par un parti pris d'écriture et de narration. Ici, c'est effectivement le coté artificiel de la vie de ces gamins, la répétition jusqu'à l'ennui de moments de plaisir qui seraient censés représenter un aboutissement d'excitation pour tout adolescent, avec le morbide et le malsain comme seules phases d'intérêt de d'échappatoire. Où la difficulté de se sentir vivre. Et effectivement, "tout ça semble affreusement réel".
Tu retrouveras cette capacité d'écriture sous d'autres formes dans "American Psycho" et dans "Glamorama", que je te conseille vivement. <peut-être vaut-il mieux terminer par "American Psycho", qui repousse les limites de ce que cet auteur est capable de proposer (bon, je n'ai pas lu ses deux derniers livres").
"Suite(s) Impériale(s)", le prolongement de "Moins que Zéro", je me lance dedans d'ici la fin du mois. Et ça vaut aussi le coup de lire "Les lois de l'attraction", qui est déroutant dans sa narration, mais qui est là encore une bonne expérience de lecture, avec ce décor vers lequel Bret Easton Ellis semble aimer revenir : la jeunesse dorée désabusée. D'ailleurs, question thème et talent pour l'exploiter, je trouve qu'au cinéma l'oeuvre de Larry Clark est un bon miroir de la littérature de Bret Easton Ellis.
(au fait, détail amusant : tu as posté ton message le jour même où je finissais ma lecture du livre!)
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Standing in two circles - Boyd Rice
Inventeur de la noise music, peintre, photographe, archiviste, essayiste, acteur, cinéaste, artiste expérimental, cofondateur du mouvement UNPOP, auteur pour Modern Drunkard Magazine, etc.
Misanthrope, misogyne, fasciste esthétique, sataniste, provocateur, iconoclaste, extrémiste radical, etc.
Mais pourquoi donc créer deux interprétations aussi binaires de Boyd Rice ? Ne se tient-il pas dans deux cercles à la fois l'un serait le périmètre des clichés rebattus, l'autre aurait pour rayon l'étendue de ses créations artistiques et esthétiques ?
Artiste expérimental, sataniste, photographe, extrémiste radical, essayiste, inventeur de la noise music, misogyne, peintre, misanthrope, archiviste, fasciste esthétique, cofondateur du mouvement UNPOP, provocateur, acteur, cinéaste, iconoclaste, etc.
C'est bien plus clair ainsi, NON ?
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Mais pourquoi donc créer deux interprétations aussi binaires de Boyd Rice ? Ne se tient-il pas dans deux cercles à la fois l'un serait le périmètre des clichés rebattus, l'autre aurait pour rayon l'étendue de ses créations artistiques et esthétiques ?
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Compilation de textes d'Albert Camus : Ecrits Libertaires, rassemblés par Lou Marin.
Avec une élégance rare, Camus expose un profond amour pour l'esprit affranchi, ce qu'il appelle souvent "Le génie libertaire". Que Camus ait été l'une des consciences les plus élevées du XXème siècle, j'en étais déjà persuadé après L'Etranger, La Peste et Les Justes, mais la lecture de toutes ces assertions et des articles donnés par Camus aux revues libertaires des années 40 et 50 est incroyablement pertinente et d'un style limpide !
Qu'il appuie ou qu'il réponde, qu'il confirme ou qu'il conteste, Camus frappe au delà de la perception. Ses articles de soutien à Louis Lecoin (un grand homme entre tous) sont un sommet d'émotion et enrichissent le lecteur dans des proportions indicibles.
Que l'on soit partisan de ces thèses ou pas, nul ne pourra nier la profonde grandeur d'âme et de style d'Albert Camus.
Avec une élégance rare, Camus expose un profond amour pour l'esprit affranchi, ce qu'il appelle souvent "Le génie libertaire". Que Camus ait été l'une des consciences les plus élevées du XXème siècle, j'en étais déjà persuadé après L'Etranger, La Peste et Les Justes, mais la lecture de toutes ces assertions et des articles donnés par Camus aux revues libertaires des années 40 et 50 est incroyablement pertinente et d'un style limpide !
Qu'il appuie ou qu'il réponde, qu'il confirme ou qu'il conteste, Camus frappe au delà de la perception. Ses articles de soutien à Louis Lecoin (un grand homme entre tous) sont un sommet d'émotion et enrichissent le lecteur dans des proportions indicibles.
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Je l'ai lu il y a 4 ans environ, mais ça me rappelle assez bien ce que j'en ai pensé. Par contre durant la lecture, j'avais très souvent envie de tuer ce héros qui est d'une apathie suprême.Lyv a écrit :Bon, ben lu et fini Less than zero, de Bret Easton Ellis.
C'est vraiment du très bon, et surtout prenant d'un bout à l'autre. Je suis impressionné par la capacité de l'auteur à évoquer tant de choses alors qu'il n'y a pour ainsi dire pas d'histoire. Et qu'il parvienne à rendre chaque scène différente malgré la répétition des situations, et à choquer sans qu'on ait l'impression qu'il cherche vraiment à le faire (ça rend certaines scènes assez dérangeantes). Il y a un côté artificiel et un peu daté dans tout ce qui est décrit, et pourtant ça semble affreusement réel. Un poil déçu par la fin, que j'attendais plus marquante, mais au fond ça colle avec le reste.
Je me ferai sûrement la suite d'ici peu. Encore merci pour le conseil raisonnable.
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Lu en 2012, ce livre est tellement mortel!!Mortipoil a écrit :Je suis en plein Dracula!
Attention y a une boulette!
Chaînes: http://www.youtube.com/user/PopovAmiral?feature=mhee
http://www.dailymotion.com/Amiral_Popov#videoId=xlfi1x
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Pour ma part je lis Pitou l'Enfant Roi de Jean-Pierre Idatte et de Michel Trublin (illustration).
C'est l'histoire romanesque d'un enfant qui veut devenir roi et qui devra affronter "mille et un" dangers pour récupérer les éléments symboliques de sa royauté.
Plus sérieusement, je suis sur le Discours sur le l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes et sur le Discours des sciences et des arts de Rousseau.
Un peu moins romanesque, Rousseau retrace l'évolution de l'homme à l'état de nature jusqu'à l'homme en société, en expliquant les avantages/inconvénients/abus d'un tel changement.
Point de vue intéressant se basant principalement (pour ne pas dire exclusivement) sur l'observation de la nature, je recommande ses deux discours à tout ceux que le sujet intéresse.
C'est l'histoire romanesque d'un enfant qui veut devenir roi et qui devra affronter "mille et un" dangers pour récupérer les éléments symboliques de sa royauté.
Plus sérieusement, je suis sur le Discours sur le l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes et sur le Discours des sciences et des arts de Rousseau.
Un peu moins romanesque, Rousseau retrace l'évolution de l'homme à l'état de nature jusqu'à l'homme en société, en expliquant les avantages/inconvénients/abus d'un tel changement.
Point de vue intéressant se basant principalement (pour ne pas dire exclusivement) sur l'observation de la nature, je recommande ses deux discours à tout ceux que le sujet intéresse.
- gagarine
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Je viens de finir le Hobbit, et c'est incroyable tout les ajouts qu'il y a dans le film par rapport au livre. Sans ses ajouts, un seul film aurait suffit, mais bon il faut bien faire de la monnaie...