Bon on avait été habitué et la crème de la crème du coup je me permet de passer sur les qualités habituelles de leurs portages IOS et noter surtout les points négatifs.
- Mais quelle grosse connerie d'avoir rendu les modes Maniac et Ultra seulement débloquable après s'être farci l'Original !!!!!!!!!!!!!!
Obligé de se spoiler les derniers niveaux (que je n'avais jamais vu et n'aurait jamais du voir avant l'heure) pour avoir le droit de jouer au mode principal (car c'est ce qu'est le mode Maniac, je crois que tout le monde s'accorde là dessus).
- Pas possible (en tout cas pour l'instant, vu que tout semble se débloquer au fur et à mesure ou peut avoir des surprises) de supprimer le tutoriel... non mais serieux ?
- Pas d'iPhone mode. Ce n'est pas pour faire l'enfant gâté mais à partir du moment où le scoring déjà compliqué avec un stick est rendu inutilisable par le système de commande de l'iphone, un mode scorable était nécessaire pour garder un sens au titre et en faire un vrai Cave. Le portage de Galuda 2 était le parfait exemple de cette logique. Dodonpachi par contre, n'avait pas tant que ça besoin de son mode iPhone. Mais alors Mushi, si il y a bien un qui au coté de galuda 2 méritait ce type de traitement, c'était bien celui-là.
- Du coup, les tableaux de scores semblent avoir disparu (cohérent après tout puisqu'on ne score plus). Mais est-ce encore un Cave du coup ? Une version passablement édulcorée pour le coup.
Enfin tout de même un point positif (par rapport aux précédents portages) :
- Pas de crédits illimités (en tout cas, pas dès le départ). Pas que ça nous change la vie, mais pour les débutants ça permettra de découvrir le jeu dans de bonnes conditions.
L'un dans l'autre j'ai l'impression que nous ne sommes pas le public visé. Et même avec cette idée là, débloquer les modes de jeu progressivement me semble une grossière erreur de game design, très étonnante de la part de Cave.
Voilà à part ça, merci Cave d'avoir pondu de telles perles, même porté sur des supports aussi peu adaptés et même en faisant des conneries, ça reste un enchantement.
