Pour la faire courte, Devil Engine, c’est le ZeroRanger de l’horizontal, en plus rèche, comme un Thunderforce IV sous stéroïdes.
3 modes de difficulté, très facile, très dur et mythique. Le mode très facile est un troll et correspond au mode normal.
Beaucoup de choses sont à débloquer en jouant au jeu.
Un mode extra avec un niveau unique bien hardcore qui se joue avec un nouveau vaisseau, le scathach. Ce dernier est jouable ensuite en mode arcade.
Se débloque également Des filtres graphiques, des défis, des trucs marrant, etc
Les musiques sont excellentes. Si l’ancien responsable des ost de technosoft, Hyakutaro Tsukumo, n’a fait « que » la musique d’intro, rendons justice au travail effectué par Qwesta, le principal compositeur du jeu, pour avoir su capturer l’essence des Thunderforce dans l’ost de ce jeu. C’est Très fort et très bon.
Graphiquement c’est plutôt jolie. Si on peut penser que sur photos ça fait jeu flash européen, en y jouant ce n’est pas le cas du tout. C’est même beau.
Comme dit Alec, Devil Engine c’est un peu Thunderforce 4.5.
Un bonheur.
Je trouve le level design très bon, car le jeu oblige à se servir de toutes les armes disponible et de jouer également avec la vitesse du vaisseau à certains moments.
Certains lui reprocheront sa difficulté. Les premières parties sont humiliantes, c’est vrai, en very Hard. Pourtant, le mode normal (très facile), a une bonne courbe de progression. Plus j’y joue, plus je vais loin, au boss du stage 4 actuellement.
Il suffit d’apprendre et d’utiliser les bonnes armes au bon moment. Pas mal de par cœur comme un bon TF.
Dans les difficultés plus élevées, c’est un pur test de skill. Donc fait pour ceux qui aiment le challenge, jusqu’au pur manic hardcore en Mythique. Il y en a pour tous les styles en somme.
Devil Engine, c’est du lourd !

Le trailer
En bonus, l’extra stage et le mode arcade en très difficile avec le Scathach