[FANBOY INSIDE 101] Les Bombes dans les jeux...
Publié : 24 mai 2012, 15:31
Bienvenu dans le second FBI gaiden du Dr. Atryu, celui-ci consacré à un thème d’une importance capitale dans l’univers du jeu vidéo : les Héroïnes.
The man, the woman, the game!
Il n’est plus nécessaire de mentionner que l’auteur de ces lignes a, au cours de ses 25ans de gaming acharné, développé un trouble émotionnel irrécupérable vis-à-vis des femelles protagonistes qu’il contrôle lorsqu’il s’adonne à son passe-temps favori.
La société cruelle dans laquelle la plupart d’entre nous ont évolué au cours des dernières décennies nous a bombardés le cerveau de représentations féminines toujours plus adaptées aux désirs et aux instincts reproducteurs bestiaux des hommes. Chirurgie, Photoshop, CGI, mode, régimes alimentaires, crèmes anti-cellulite, fitness : Au XXIe sciècle, nous avons accès à des outils très poussés servant à rendre les demoiselles de plus en plus attrayantes sur le plan physique.
Il est écrit dans un volume de l’encyclopédie philosophique Atryuiste que les hommes gardent toujours au fond de leur âme une partie de leur instinct de nourrisson.
Cette règle est facilement démontrée :
Quelle est la première réaction d’un nouveau-né ? Il pleure. Pourquoi pleure-t’il ? Parce qu’il découvre le monde extérieur. Un univers hostile et froid ou sévissent chômage, factures, politique, parti socialiste, frontaliers, religieux, crétins, chefs du personnel, cravates… bref blindé d’emmerdements en tout genre. Il pleure car il a envie de retourner d’où il vient, dans le ventre de sa maman (et on le comprend !). Lorsqu’il s’aperçoit que « it’s not going to happen ! », il a faim, et se délecte du lait maternel en consolation.
Et bien les hommes, même à 40 ans, ont toujours envie de sucer des nichons et de rentrer dans des vagins. « it’s a fact ! ». Freud a dit beaucoup de conneries, mais il n’avait pas tout-à-fait tort sur certains points.
Notre taille adulte ne nous permettant pas toujours d’aller où l’on voudrait, on se contente d’y faire pénétrer notre membre le plus sensible…. Bref, l’attirance constante vers le sexe faible doit être acceptée et gérée par tout mâle qui ne voudrait pas sombrer dans la dépression.
Le Dr. Atryu a trouvé le moyen de catalyser cette envie, ce besoin naturel à travers sa passion : les jeux vidéo.
Dans un jeu, on ne se limite pas à « regarder » l’objet de nos désirs refoulés comme dans un film ou même un bar à strip tease. On va plus loin… on arrive à avoir un rapport direct avec la femme. Dans les RPGs, on passe plusieurs centaines d’heures avec elle à l’accompagner dans ses quêtes les plus folles. Dans un Shoot, on l’aide à piloter son vaisseau et à sauver l’univers contre les armées de monstres mutants. Dans un jeu de combat, on apprend à se battre avec elle, on découvre les forces et faiblesses de nos adversaires ensemble.
Dans tous les cas, on évolue en parfaite symbiose avec son personnage dans des univers imaginaires passionnants à accomplir des choses extraordinaires… ça crée des liens très forts, bien plus forts que la simple envie de « lui salir les cheuveux » que l’on éprouve pour Megan Fox dans Transformers, pour Koda Kumi dans sa reprise de « Cutey Honey » ou pour Jesse Jane dans « Pirates ».
Vous avez déjà sauvé le monde avec une votre copine IRL vous ? …moi non. Votre compagne a-t’ elle déjà explosé un demi-dieu mégalomane et sauvé l’humanité ? …la mienne pas. Elle s’est déjà battue avec deux sabres longs contre des hordes d’araignées et de scorpions géants? …la mienne non.
(Les rabat-joie de service vont me sortir de leurs rhétoriques pourries une tirade du genre : « Haaan, ouais, mais t’as déjà fait l’amour avec un personnage de JV ? » …
Je leur répondrais que : De 1, avec suffisamment d’imagination, on y arrive, et de 2, je n’ai jamais dit que la relation fusionnelle avec une protagoniste virtuelle était incompatible avec une relation saine IRL. Elle peut très bien être complémentaire... Alors les gros malins qui se croient « parfaitement à l’aise avec leur sexualité », on la boucle, et on lit plus loin, merci !)
La toile affective de liens que l’on tisse avec son héroïne de jeux vidéo est un sentiment unique, puissant, excitant et qui laisse rêveur. Que le tout puissant Odin ait pitié des malheureux qui ne connaîtront jamais cette sensation.
Beaucoup trop de développeurs ne se rendent pas compte de la responsabilité qui leur écrase les épaules lorsqu’ils pondent un jeu à ce niveau là… la déception d’un joueur sensible et ouvert à l’amour virtuel de son personnage quand un jeu ne propose pas l’option de le découvrir en compagnie d’une belle héroïne.
"I love you so much when you kill for me!" - GameGirl: Origins
L’image de la femme guerrière remonte aux temps les plus anciens. Notamment dans les mythologies grecques avec les amazones, ou dans les légendes nordiques avec les Valkyries. En France avec Jeanne d’Arc et même au Japon (ou la femme a toujours eu ce côté « soumise » qui s’avère être complétement illusoire dès qu’on s’intéresse d’un peu plus près à la culture du Pays) avec Tomoe Gozen qui était la seule femme-samurai.
Le concept a continué des années 30 à aujourd’hui aux Etats-Unis avec une ribambelle de films d’action ou de SF mettant en scène les plus belles actrices dans les rôles principaux. On citera évidemment la magnifique Jane Fonda dans le rôle de Barbarella, Doris Day (Calamity Jane) ou plus récemment, des nanas comme Milla Jovovich (une des reines du genre !), Chalize Theron (Aeon Flux), Kate Beckinsale (Underworld), Kristina Loken (Terminator 3), Yumiko Shaku (Princess Blade, Skyhigh), Michelle Rodriguez (une autre Impératrice ultime du genre !) et même une Française : Anne Parillaud (Nikita). …et j’en passe des Uma Thurman, des Red Sonia etc… J’en oublie des tonnes, mais vous voyez l’idée !
En même temps, toujours aux USA, naquirent des super-héroïnes telles que Wonderwoman chez DC comics, Marvel ajusta le tire avec Miss Marvell, et s’en suivirent toutes les bombes atomiques des comics ricains, Rogue, Psylocke, Elektra, Lady-Hulk, Spidergirl, X-23, Lady Death, Catwoman, etc…
Seulement voilà le problème, au cinéma et sur papier, ce n’est que du « eye-candy ». On suit les aventures des belles de nos fantasmes SANS pouvoir interagir directement avec elles…
Alors pourquoi pas dans les jeux vidéo ? Pourquoi les gamers devraient se limiter à Duke Nukem et à Super Mario ?
Certains développeurs de génie indiscutable se sont posé la même question, et on a eu droit à pas mal de titres japonais mettant en scène des « super nanas ». En occident, ce n’est qu’à partir de 1987 que « Saboteur 2 : Avenging Angel » ouvrit la marche.
"Atryu's Angels - The crew"
Je ne vais pas lister toutes les héroïnes de jeux vidéo ici, google vous donnera toutes les infos souhaitées à ce sujet.
Par contre, je préfère vous parler de mes coups de cœur obsessionnels en la matière :
Je vais me limiter aux oldies (à partir de l’ère 16bit quand même… à l’ère 8bit, j’étais encore trop petit pour avoir des pulsions sexuelles, même si j’ai longuement considéré la fin de Metroid comme la meilleure fin de JV du monde !) comme on est tout de même dans un FBI:
1. Blaze (Streets of Rage)
J’ai développé mon fétichisme pour les mini-jupes à ce moment-là. Je m’en souviens comme si c’était hier. Après l’école, je passe chez un pote qui avait des parents plus ouverts à la perte de temps de leur fils que moi et qui avait une Megadrive. Ce jour-là, il avait acheté SoR.
Lui : - On peut jouer à deux, c’est trop cool hein ? …par contre, je prends le héros ! Tu prends le noir hein !
Moi : - heu… la fille, elle est forte ?
Lui : - chais pas, jamais essayé… elle doit être rapide mais faible…
Moi : - Elle est super-bonne en tout cas…
Lui : - Ouais, bof…
Moi : - hmn’.. Elle pourrait me taper, j’aimerai bien ça je pense… avec ses petites bot…
Lui : - Allez ! appuie sur Start !
2. Alisia Dragoon
J’aimais énormément les jeux de plateforme à l’époque… mais j’accrochais rarement aux univers que je qualifiais de « gamin-crétin » de Mario, ou même Sonic… je me rabattais donc sur Rockman, mais même là, il manquait quelque chose, un certain charme au jeu pour m’envouter complétement. GameArts m’entendis, et sorti Alisia Dragoon ! Entre Alisia, Blaze de SoR, et l’intro de Arrow Flash qui tournait en boucle en vitrine d’un magasin de TV à coté de mon bahut, ce fut assez ! Je décidai de ne plus jamais manger à midi et de mettre les CHF 10.- de côté chaque jour que je reçevais de mes parents pour la cantine dans une boite de coca et de m’acheter une MD !...
3. Mai Shiranui
…Je finis par avoir bien plus que je ne pensais (une boite de coca remplie à ras-bord de billets de 10.-, ça fait plus de 600Euros !), et à la place de la MD, je fis péter une NéoGeo avec Fatal Fury 2 ! Alors là, c’est bon… je ne sais pas trop quoi dire… mais je crois que c’est à ce moment-là que j’avais décidé que « quand je serai grand, je me taperai que des Asiatiques ».
4. Cammy (SSF2)
En bas de mon école d’ingénieur, il y avait un petit bar à chômeurs (comme je les appelle… vous savez, ces bistrots ou les inadaptés et les vieux anars trainent en sifflant des bière et des canons de blanc l’après-midi ?) appelé le Colorado (il n’existe malheureusement plus). Ils avaient une petite salle de jeux à l’arrière-boutique avec des flippers est 5 ou 6 bornes. On y allait pendant les poses pour fumer des clopes. Un beau jour, on y trouva une borne de Super Street Fighter 2, avec, non pas 2, mais 4 nouveaux persos jouables ! J’ai vu la Win pose de Cammy, je me suis dit : « faut que j’apprenne à jouer à ça ! »
5. Jam Kuradoberi (GGXX)
Je l’ai découverte tard elle, j’habitais déjà à Tokyo… mais il s’agit là de mon plus grand amour virtuel de tous les temps. Je vous invite à lire mon FBI sur GGXX (viewtopic.php?f=32&t=13538) pour plus de précisions sur ma love story avec Jam.
En tout cas, en plus d’être la gamegirl la plus bandante de toute l’histoire des JV, elle est aussi la plus fun à jouer en termes de gameplay. Je n’aurais jamais poussé le jeu à ce niveau sans elle. Je me serais retrouvé à jouer Millia, et à perdre et encore perdre jusqu’à ce que je lâche l’affaire.
Je pourrais aussi parler de Bluemary de KOF / Garou pour qui j’éprouvais pas mal de trucs, ou de Nakoruru de SamSho (je n’ai jamais joué un autre perso à ce jeu… et j’en ai des heures dessus !), des misses de Burning Angels (mon premier jeu PC Engine), de la Blondasse de Ninja Warriors (le fait qu’on ne voie que sa chevelure à travers le Ninja-gi sans voir son visage m’excitais énormément !) ou encore de Yuri de Art Of Fighting 2…. Mais je vais pas trop m’étaler, ça risque de devenir trop personnel pour que je puisse me permettre d’y étaler sur le net.
En ce qui concerne les jeux actuels, je ne suis pas trop déçu en règle générale contrairement à la règle du FBI « c’était mieux avant ». Beaucoup de jeux (toujours pas assez en fait…) proposent une création de personnage ou l’on peut choisir le « gender », ou alors offrent la possibilité de jouer une nana.
Je finirai donc ce FBI sur les Bombes dans les Games par une question :
Alors ? …Kratos ou Bayonetta ?
Try-Try
The man, the woman, the game!
Il n’est plus nécessaire de mentionner que l’auteur de ces lignes a, au cours de ses 25ans de gaming acharné, développé un trouble émotionnel irrécupérable vis-à-vis des femelles protagonistes qu’il contrôle lorsqu’il s’adonne à son passe-temps favori.
La société cruelle dans laquelle la plupart d’entre nous ont évolué au cours des dernières décennies nous a bombardés le cerveau de représentations féminines toujours plus adaptées aux désirs et aux instincts reproducteurs bestiaux des hommes. Chirurgie, Photoshop, CGI, mode, régimes alimentaires, crèmes anti-cellulite, fitness : Au XXIe sciècle, nous avons accès à des outils très poussés servant à rendre les demoiselles de plus en plus attrayantes sur le plan physique.
Il est écrit dans un volume de l’encyclopédie philosophique Atryuiste que les hommes gardent toujours au fond de leur âme une partie de leur instinct de nourrisson.
Cette règle est facilement démontrée :
Quelle est la première réaction d’un nouveau-né ? Il pleure. Pourquoi pleure-t’il ? Parce qu’il découvre le monde extérieur. Un univers hostile et froid ou sévissent chômage, factures, politique, parti socialiste, frontaliers, religieux, crétins, chefs du personnel, cravates… bref blindé d’emmerdements en tout genre. Il pleure car il a envie de retourner d’où il vient, dans le ventre de sa maman (et on le comprend !). Lorsqu’il s’aperçoit que « it’s not going to happen ! », il a faim, et se délecte du lait maternel en consolation.
Et bien les hommes, même à 40 ans, ont toujours envie de sucer des nichons et de rentrer dans des vagins. « it’s a fact ! ». Freud a dit beaucoup de conneries, mais il n’avait pas tout-à-fait tort sur certains points.
Notre taille adulte ne nous permettant pas toujours d’aller où l’on voudrait, on se contente d’y faire pénétrer notre membre le plus sensible…. Bref, l’attirance constante vers le sexe faible doit être acceptée et gérée par tout mâle qui ne voudrait pas sombrer dans la dépression.
Le Dr. Atryu a trouvé le moyen de catalyser cette envie, ce besoin naturel à travers sa passion : les jeux vidéo.
Dans un jeu, on ne se limite pas à « regarder » l’objet de nos désirs refoulés comme dans un film ou même un bar à strip tease. On va plus loin… on arrive à avoir un rapport direct avec la femme. Dans les RPGs, on passe plusieurs centaines d’heures avec elle à l’accompagner dans ses quêtes les plus folles. Dans un Shoot, on l’aide à piloter son vaisseau et à sauver l’univers contre les armées de monstres mutants. Dans un jeu de combat, on apprend à se battre avec elle, on découvre les forces et faiblesses de nos adversaires ensemble.
Dans tous les cas, on évolue en parfaite symbiose avec son personnage dans des univers imaginaires passionnants à accomplir des choses extraordinaires… ça crée des liens très forts, bien plus forts que la simple envie de « lui salir les cheuveux » que l’on éprouve pour Megan Fox dans Transformers, pour Koda Kumi dans sa reprise de « Cutey Honey » ou pour Jesse Jane dans « Pirates ».
Vous avez déjà sauvé le monde avec une votre copine IRL vous ? …moi non. Votre compagne a-t’ elle déjà explosé un demi-dieu mégalomane et sauvé l’humanité ? …la mienne pas. Elle s’est déjà battue avec deux sabres longs contre des hordes d’araignées et de scorpions géants? …la mienne non.
(Les rabat-joie de service vont me sortir de leurs rhétoriques pourries une tirade du genre : « Haaan, ouais, mais t’as déjà fait l’amour avec un personnage de JV ? » …
Je leur répondrais que : De 1, avec suffisamment d’imagination, on y arrive, et de 2, je n’ai jamais dit que la relation fusionnelle avec une protagoniste virtuelle était incompatible avec une relation saine IRL. Elle peut très bien être complémentaire... Alors les gros malins qui se croient « parfaitement à l’aise avec leur sexualité », on la boucle, et on lit plus loin, merci !)
La toile affective de liens que l’on tisse avec son héroïne de jeux vidéo est un sentiment unique, puissant, excitant et qui laisse rêveur. Que le tout puissant Odin ait pitié des malheureux qui ne connaîtront jamais cette sensation.
Beaucoup trop de développeurs ne se rendent pas compte de la responsabilité qui leur écrase les épaules lorsqu’ils pondent un jeu à ce niveau là… la déception d’un joueur sensible et ouvert à l’amour virtuel de son personnage quand un jeu ne propose pas l’option de le découvrir en compagnie d’une belle héroïne.
"I love you so much when you kill for me!" - GameGirl: Origins
L’image de la femme guerrière remonte aux temps les plus anciens. Notamment dans les mythologies grecques avec les amazones, ou dans les légendes nordiques avec les Valkyries. En France avec Jeanne d’Arc et même au Japon (ou la femme a toujours eu ce côté « soumise » qui s’avère être complétement illusoire dès qu’on s’intéresse d’un peu plus près à la culture du Pays) avec Tomoe Gozen qui était la seule femme-samurai.
Le concept a continué des années 30 à aujourd’hui aux Etats-Unis avec une ribambelle de films d’action ou de SF mettant en scène les plus belles actrices dans les rôles principaux. On citera évidemment la magnifique Jane Fonda dans le rôle de Barbarella, Doris Day (Calamity Jane) ou plus récemment, des nanas comme Milla Jovovich (une des reines du genre !), Chalize Theron (Aeon Flux), Kate Beckinsale (Underworld), Kristina Loken (Terminator 3), Yumiko Shaku (Princess Blade, Skyhigh), Michelle Rodriguez (une autre Impératrice ultime du genre !) et même une Française : Anne Parillaud (Nikita). …et j’en passe des Uma Thurman, des Red Sonia etc… J’en oublie des tonnes, mais vous voyez l’idée !
En même temps, toujours aux USA, naquirent des super-héroïnes telles que Wonderwoman chez DC comics, Marvel ajusta le tire avec Miss Marvell, et s’en suivirent toutes les bombes atomiques des comics ricains, Rogue, Psylocke, Elektra, Lady-Hulk, Spidergirl, X-23, Lady Death, Catwoman, etc…
Seulement voilà le problème, au cinéma et sur papier, ce n’est que du « eye-candy ». On suit les aventures des belles de nos fantasmes SANS pouvoir interagir directement avec elles…
Alors pourquoi pas dans les jeux vidéo ? Pourquoi les gamers devraient se limiter à Duke Nukem et à Super Mario ?
Certains développeurs de génie indiscutable se sont posé la même question, et on a eu droit à pas mal de titres japonais mettant en scène des « super nanas ». En occident, ce n’est qu’à partir de 1987 que « Saboteur 2 : Avenging Angel » ouvrit la marche.
"Atryu's Angels - The crew"
Je ne vais pas lister toutes les héroïnes de jeux vidéo ici, google vous donnera toutes les infos souhaitées à ce sujet.
Par contre, je préfère vous parler de mes coups de cœur obsessionnels en la matière :
Je vais me limiter aux oldies (à partir de l’ère 16bit quand même… à l’ère 8bit, j’étais encore trop petit pour avoir des pulsions sexuelles, même si j’ai longuement considéré la fin de Metroid comme la meilleure fin de JV du monde !) comme on est tout de même dans un FBI:
1. Blaze (Streets of Rage)
J’ai développé mon fétichisme pour les mini-jupes à ce moment-là. Je m’en souviens comme si c’était hier. Après l’école, je passe chez un pote qui avait des parents plus ouverts à la perte de temps de leur fils que moi et qui avait une Megadrive. Ce jour-là, il avait acheté SoR.
Lui : - On peut jouer à deux, c’est trop cool hein ? …par contre, je prends le héros ! Tu prends le noir hein !
Moi : - heu… la fille, elle est forte ?
Lui : - chais pas, jamais essayé… elle doit être rapide mais faible…
Moi : - Elle est super-bonne en tout cas…
Lui : - Ouais, bof…
Moi : - hmn’.. Elle pourrait me taper, j’aimerai bien ça je pense… avec ses petites bot…
Lui : - Allez ! appuie sur Start !
2. Alisia Dragoon
J’aimais énormément les jeux de plateforme à l’époque… mais j’accrochais rarement aux univers que je qualifiais de « gamin-crétin » de Mario, ou même Sonic… je me rabattais donc sur Rockman, mais même là, il manquait quelque chose, un certain charme au jeu pour m’envouter complétement. GameArts m’entendis, et sorti Alisia Dragoon ! Entre Alisia, Blaze de SoR, et l’intro de Arrow Flash qui tournait en boucle en vitrine d’un magasin de TV à coté de mon bahut, ce fut assez ! Je décidai de ne plus jamais manger à midi et de mettre les CHF 10.- de côté chaque jour que je reçevais de mes parents pour la cantine dans une boite de coca et de m’acheter une MD !...
3. Mai Shiranui
…Je finis par avoir bien plus que je ne pensais (une boite de coca remplie à ras-bord de billets de 10.-, ça fait plus de 600Euros !), et à la place de la MD, je fis péter une NéoGeo avec Fatal Fury 2 ! Alors là, c’est bon… je ne sais pas trop quoi dire… mais je crois que c’est à ce moment-là que j’avais décidé que « quand je serai grand, je me taperai que des Asiatiques ».
4. Cammy (SSF2)
En bas de mon école d’ingénieur, il y avait un petit bar à chômeurs (comme je les appelle… vous savez, ces bistrots ou les inadaptés et les vieux anars trainent en sifflant des bière et des canons de blanc l’après-midi ?) appelé le Colorado (il n’existe malheureusement plus). Ils avaient une petite salle de jeux à l’arrière-boutique avec des flippers est 5 ou 6 bornes. On y allait pendant les poses pour fumer des clopes. Un beau jour, on y trouva une borne de Super Street Fighter 2, avec, non pas 2, mais 4 nouveaux persos jouables ! J’ai vu la Win pose de Cammy, je me suis dit : « faut que j’apprenne à jouer à ça ! »
5. Jam Kuradoberi (GGXX)
Je l’ai découverte tard elle, j’habitais déjà à Tokyo… mais il s’agit là de mon plus grand amour virtuel de tous les temps. Je vous invite à lire mon FBI sur GGXX (viewtopic.php?f=32&t=13538) pour plus de précisions sur ma love story avec Jam.
En tout cas, en plus d’être la gamegirl la plus bandante de toute l’histoire des JV, elle est aussi la plus fun à jouer en termes de gameplay. Je n’aurais jamais poussé le jeu à ce niveau sans elle. Je me serais retrouvé à jouer Millia, et à perdre et encore perdre jusqu’à ce que je lâche l’affaire.
Je pourrais aussi parler de Bluemary de KOF / Garou pour qui j’éprouvais pas mal de trucs, ou de Nakoruru de SamSho (je n’ai jamais joué un autre perso à ce jeu… et j’en ai des heures dessus !), des misses de Burning Angels (mon premier jeu PC Engine), de la Blondasse de Ninja Warriors (le fait qu’on ne voie que sa chevelure à travers le Ninja-gi sans voir son visage m’excitais énormément !) ou encore de Yuri de Art Of Fighting 2…. Mais je vais pas trop m’étaler, ça risque de devenir trop personnel pour que je puisse me permettre d’y étaler sur le net.
En ce qui concerne les jeux actuels, je ne suis pas trop déçu en règle générale contrairement à la règle du FBI « c’était mieux avant ». Beaucoup de jeux (toujours pas assez en fait…) proposent une création de personnage ou l’on peut choisir le « gender », ou alors offrent la possibilité de jouer une nana.
Je finirai donc ce FBI sur les Bombes dans les Games par une question :
Alors ? …Kratos ou Bayonetta ?
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